Les traitements de l'infertilité
À l’heure où un couple sur six éprouve des difficultés à concevoir, le Centre de Reproduction humaine et infertilité des Cliniques universitaires Saint-Luc est à la pointe de la prise en charge de l’infertilité masculine et féminine.
Outre l’éventail complet des traitements procréation médicalement assistée (stimulation hormonale, insémination intra-utérine avec sperme du conjoint ou de donneur anonyme (uniquement pour les couples), fécondation in vitro, ICSI, etc.), le Centre de Reproduction humaine et infertilité des Cliniques universitaires Saint-Luc est particulièrement réputé pour sa prise en charge de l’endométriose et de la stérilité masculine ainsi que pour la préservation de la fertilité masculine et féminine.
La prise en charge de l’endométriose
L’endométriose se caractérise par la présence de cellules de l’endomètre hors de la muqueuse utérine, le plus souvent au niveau du péritoine, des ovaires et, plus rarement, au niveau des intestins. Outre des douleurs importantes durant les règles, l’endométriose est l’une des causes de stérilité féminine. Le Service de gynécologie et andrologie des Cliniques universitaires Saint-Luc possède une expertise internationalement reconnue dans le diagnostic et le traitement de cette affection.
Le traitement de la stérilité masculine
La baisse de la qualité et/ou de la quantité de spermatozoïdes depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale est aujourd’hui à l’origine de la moitié des difficultés à concevoir. Aux Cliniques universitaires Saint-Luc, plus de 60 % des fécondations in vitro (FIV) sont d’ailleurs effectuées dans ce cadre. L’Unité d’andrologie prend en charge le traitement des stérilités masculines les plus sévères.
La préservation de la fertilité féminine et masculine
La Banque de tissus et cellules reproducteurs des Cliniques universitaires Saint-Luc est à la pointe dans le domaine de la cryopréservation (préservation par le froid) des gamètes des deux sexes, avant ou après la puberté. Cette technique permet de préserver la fertilité future des patient(e)s devant subir un traitement médical potentiellement toxique pour leurs gamètes (une chimiothérapie, par exemple) ou atteint(e)s d’un cancer qui pourrait affecter leur fertilité. La Banque de tissus et cellules reproducteurs des Cliniques universitaires Saint-Luc propose de prélever et conserver
- les ovocytes des femmes et jeunes filles après leur puberté
- le tissu ovarien des filles prépubères et des jeunes femmes
- le sperme et les spermatozoïdes extraits du tissu testiculaire des hommes et des adolescents
- le tissu testiculaire des garçons prépubères. Des recherches sont en cours sur le développement des cellules souches contenues dans ce tissu testiculaire afin de les transplanter ou de les mettre en culture en vue de reproduire la spermatogenèse (production des spermatozoïdes).
Plus d'information sur : www.saintluc.be